La volonté du malade sera respectée
La loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, qui a été adoptée à l’unanimité mardi 30 novembre 2004 par l’Assemblée nationale, accorde le droit aux malades, et notamment à ceux en fin de vie, de refuser ou d’interrompre les soins nécessaires à leur maintien en vie. Elle protège donc le médecin qui accéderait à une telle demande, sous condition de transparence et de collégialité de la procédure. Sans pour autant dépénaliser l’euthanasie.
Tout aura donc été très vite : quatorze…