Une surmortalité moins importante que prévu
Bien qu'importante, la surmortalité enregistrée suite à la canicule de l'été 2006 est inférieure à celle qui aurait du être observée, note l'Institut national de veille sanitaire (INVS) dans un communiqué. Compte tenu des températures enregistrées durant la période estivale 2006, une surmortalité de 6400 décès aurait en effet du être observée*. Or, une étude effectuée dans le cadre d'un partenariat entre l'INSERM, l'INVS et Météo France vient de la chiffrer à 2000 décès. L'INVS évoque donc dans…