La finalité des pratiques doit être définie et respectée
Le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) vient de rendre un avis sur la « généralisation excessive de la biométrie » dans notre société et les dérives qui en découlent. Entre l’utilisation de données personnelles et des fichiers ADN, le comité a voulu souligner l’importance de définir les finalités de ces nouvelles technologies et la nécessité de mettre en place des instances de contrôle. Les professionnels de santé sont concernés par le sujet, ne serait ce qu’à travers l’exemple du DMP.…