Les urgentistes déterminés à se faire entendre
En grève depuis dix jours les urgentistes ont la sensation de ne "pas être écoutés", ni même "entendus du ministère de la Santé", déclare à Hospimedia Patrick Pelloux, président de l'AMUF. Dans ces conditions, il n'exclut pas d'appeler au durcissement du mouvement social pour obtenir gain de cause, soit l'ouverture de "vraies négociations". Patrick Pelloux estime en effet que Roselyne Bachelot n'a pas répondu à l'appel des urgentistes, et ajoute qu'elle n'a d'ailleurs pas invité la Fédération…