«Le dispositif de coopération envisagé s’avère dissuasif pour nos établissements»
Oublié dans l'avant-projet de loi HPST, le secteur privé non lucratif, qui représente 15% des établissements sanitaires et 56% des structures sociales et médico-sociales en France, a su, par l'intermédiaire de la FEHAP, se faire entendre des députés, qui discuteront plusieurs amendements le concernant. Explications avec Yves-Jean Dupuis, directeur général de la FEHAP.
Hospimedia : "Les débats ayant précédé l'élaboration du projet de loi n'ont pas vraiment tenu compte du modèle proposé par le…