Le CCNE envisage son autorisation sous trois conditions
Dans son dernier avis, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) pour les sciences de la vie et de la santé déclare que la majorité des membres du comité considère que le transfert in utero d'un embryon après le décès de l'homme faisant partie du couple devrait pouvoir être autorisé si trois conditions sont réunies. Tout d'abord, le consentement de l'homme de son vivant serait alors nécessaire. Il faudrait aussi prévoir un délai de réflexion minimum après le décès du conjoint pour que sa…