Le SPEP souhaite un retour au rythme antérieur des certificats
"Il n'y avait pas urgence à modifier la loi sur les soins sans consentement", rappelle dans un communiqué le Syndicat des psychiatres d'exercice public (SPEP), conforté dans son propos par la récente décision du conseil constitutionnel (lire notre brève du 10/10/2011). Celui-ci rend toute sa place au médecin "seul capable d'attester l'existence de troubles", la notoriété publique ne pouvant plus être invoquée. Et il confirme le rythme des certificats (24h, quinzaine et mensuel) comme conforme à…