Les certifications de décès électroniques sont mieux remplies que leur version papier
À ce jour, la certification électronique des décès ne représente que 5% du total des décès. Mais l'évaluation de la qualité de ces documents confirme l'intérêt de poursuivre leur développement en France. Ils sont en effet mieux remplis que les versions papier, conclut une équipe de recherche du Centre d'épidémiologie sur les causes de décès (CépiDc-INSERM) et de l'Institut de veille sanitaire (InVS) dont les résultats sont publiés dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 5 mars…