Le Quai d'Orsay porte 10 pistes d'évolution pour le Fonds mondial de lutte contre le sida
Deuxième plus gros contributeur du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, la France se doit de communiquer plus avant sur son aide au développement en santé. Pour la diplomatie française, Paris doit aussi appuyer une refonte en dix axes du fonds et de son action.Depuis 2002, année de la création du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (FMLSTP), la France a contribué pour près de 2,5 milliards d'euros à son financement, soit le…