Un patient, dans le coma depuis un grave accident en juillet 2013, sans respirateur mais sous alimentation et hydratation artificielles, est pris en charge au sein du service de neurochirurgie aux Hospices civils de Colmar. En novembre, l'équipe médicale entame une réflexion de limitation des thérapeutiques mais aucun consensus familial ne se dégage. Dans l'impossibilité de recueillir le souhait du patient, cette même équipe décide tout de même, en février 2014, le…