E-santé
Le dossier médical partagé entre en 2017 dans sa phase d'expérimentation dans neuf départements
Depuis fin décembre 2016, les neuf départements pilotes du dossier médical partagé (DMP) se sont lancés dans l'expérimentation de ce dossier nouvelle génération. Cette phase pilote, qui va s'étendre sur plusieurs mois, va permettre de tester "en vie réelle" la création, l'alimentation et l'utilisation des DMP créés, a indiqué à Hospimedia l'Assurance maladie. L'idée est bien de voir sur le terrain comment le dispositif fonctionne, s'il répond aux besoins des usagers et des professionnels de santé et de procéder, en fonction, à divers ajustements. Pour l'heure, aucune date n'a été arrêtée sur la durée de l'expérimentation, la phase pilote se trouvant plutôt sur une logique de déploiement étape par étape.
L'Assurance maladie rappelle que l'enjeu est de s'assurer que ce nouveau produit fonctionne et de trouver des modalités favorisant et facilitant l'utilisation par le plus grand nombre. Dans ce cas, elle a jugé nécessaire un retour sur plusieurs mois et espère déjà avoir des éléments concrets dès la fin du premier semestre 2017. Elle aura en outre besoin du recul nécessaire pour effectuer les différentes modifications sur les modalités testées. Celles-ci pouvant alors évoluer à la marge. Pour rappel, elles concernent : la création par les usagers de leur propre DMP directement auprès de leur caisse départementale d'assurance maladie ou en ligne ; l'alimentation avec, dès le départ, l'historique des remboursements de l'assuré social des six derniers mois ; l'encouragement à l'utilisation. Sur ce point, des travaux avec les éditeurs de logiciels des médecins libéraux et hospitaliers ont été réalisés pour favoriser l'accès au dossier et son alimentation avec, par exemple, le volet de synthèse médicale.
Les neuf départements pilotes, que sont le Bas-Rhin, la Somme, l'Indre-et-Loire, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Garonne, le Val-de-Marne, les Côtes-d'Armor, le Puy-de-Dôme et le Doubs, ont été sélectionnés pour constituer un échantillon représentatif du territoire. La population, la taille, l'organisation des soins ville-hôpital sont autant de facteurs qui ont pesé dans le choix de ces départements ainsi que leur rapport au dossier médical personnel. Le but est d'avoir un terrain d'observations le plus représentatif possible, a précisé l'Assurance maladie.
L'Assurance maladie rappelle que l'enjeu est de s'assurer que ce nouveau produit fonctionne et de trouver des modalités favorisant et facilitant l'utilisation par le plus grand nombre. Dans ce cas, elle a jugé nécessaire un retour sur plusieurs mois et espère déjà avoir des éléments concrets dès la fin du premier semestre 2017. Elle aura en outre besoin du recul nécessaire pour effectuer les différentes modifications sur les modalités testées. Celles-ci pouvant alors évoluer à la marge. Pour rappel, elles concernent : la création par les usagers de leur propre DMP directement auprès de leur caisse départementale d'assurance maladie ou en ligne ; l'alimentation avec, dès le départ, l'historique des remboursements de l'assuré social des six derniers mois ; l'encouragement à l'utilisation. Sur ce point, des travaux avec les éditeurs de logiciels des médecins libéraux et hospitaliers ont été réalisés pour favoriser l'accès au dossier et son alimentation avec, par exemple, le volet de synthèse médicale.
Les neuf départements pilotes, que sont le Bas-Rhin, la Somme, l'Indre-et-Loire, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Garonne, le Val-de-Marne, les Côtes-d'Armor, le Puy-de-Dôme et le Doubs, ont été sélectionnés pour constituer un échantillon représentatif du territoire. La population, la taille, l'organisation des soins ville-hôpital sont autant de facteurs qui ont pesé dans le choix de ces départements ainsi que leur rapport au dossier médical personnel. Le but est d'avoir un terrain d'observations le plus représentatif possible, a précisé l'Assurance maladie.
