Le privé lucratif est pointé du doigt pour son absence de soins de support en dialyse
1 assistant pour 1 400 patients, 1 psychologue pour 1 000 et 1 diététicien pour 700. Tel est le constat implacable dressé par l'association Renaloo sur les effectifs en soins de support dans les structures privées lucratives avec une activité dialyse exclusive. Le secteur associatif est un peu mieux loti. C'est plus difficile à dire dans le public."Le financement des soins de support dédiés aux patients insuffisants rénaux dialysés reste souvent considéré comme optionnel: les coûts associés…