La reprise partielle de la dette hospitalière doit éteindre les derniers prêts toxiques
Contractualisée avec l'ARS, la reprise partielle de la dette des hôpitaux doit être l'occasion, pour la Cour des comptes, de désensibiliser une fois pour toute les emprunts à risque encore existant. Cet encourt sensible atteignait 300 M€ fin 2020.Dans le cadre de son rapport d'observations définitives portant sur la Sfil, la banque publique de développement créée en2013 pour garantir une stabilité de financement aux hôpitaux et collectivités locales alors englués sous les emprunts toxiques(à…