Une brèche s'ouvre outre-mer dans les contraintes temporelles de la greffe cardiaque
Une première porteuse d'espoir. En janvier, un greffon cardiaque a été transporté avec succès par avion depuis les Antilles jusqu'à son receveur à Paris, soit plus de douze heures de préservation quand d'ordinaire la limite est fixée à quatre heures.À l'heure actuelle, aucun greffon cardiaque ne peut être prélevé aux Antilles et en Guyane et ceci pour deux raisons. D'une part, les patients de ces territoires ultramarins en attente de greffe ne peuvent se faire opérer qu'en métropole —aucune…