François Hollande renie-t-il sa promesse de campagne de légaliser l'aide active à mourir ?
L'affaire Vincent Lambert sera prégnante en attendant le débat parlementaire sur la fin de vie du 21 janvier, tandis que l'évolution de la loi en la matière se dessine progressivement sans inclure d'aide active à mourir, au grand dam de ses partisans. Les familles de traumatisés crâniens craignent pourtant une certaine forme d'euthanasie.Ce 7 janvier, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) tiendra audience sur l'affaire Vincent Lambert, ce jeune tétraplégique en état végétatif dont la…