La préservation de la collecte passe par un droit à la traçabilité
D'un côté, un appel à collecter toujours plus les données de santé à des fins épidémiologiques. De l'autre, une inquiétude que leur diffusion ne lèse la vie privée. L'instauration d'un droit à la traçabilité paraît le point d'ancrage pour réunir ces deux camps qui parfois s'entremêlent.
"Il n'y a pas de limite, pas de réserve au volume de la collecte des données de santé. Plus nous en saurons, mieux ce sera..." Au grand étonnement du président de la Conférence nationale de santé (CNS), Christian…