Un "nez électronique" pour réduire le séjour hospitalier des grands brûlés
Un instrument créé dans le cadre du projet européen Woundmonitor est capable de détecter les substances chimiques volatiles qui se dégagent des bactéries staphylocoques, streptocoques et pseudomonas responsables de 80% des infections des grands brûlés, informe l'Union européenne dans un communiqué. Alors que plusieurs jours de tests microbiologiques étaient nécessaires pour déterminer l'origine de l'infection, ce dispositif électronique équipés de capteurs de gaz accélère le diagnostic. Plus…