Que ce soit le rapport de la mission d'enquête administrative menée par l'Agence régionale de santé (ARS) du Languedoc-Roussillon, ou celui rendu par l'inspection du travail, tous deux pointent l'attitude de l'ancienne direction générale du CHRU de Montpellier dans l'enchaînement des faits qui ont conduit au suicide début avril d'un jeune anesthésiste-réanimateur, Éric Delous, impliqué dans le décès d'un bébé survenu en janvier 2010 (lire notre sujet du 06/04/2010). Si elle juge "…