Société
Le monde de la santé témoigne de nouveau de sa solidarité avec les victimes de Charlie Hebdo
Les acteurs de la santé se sont recueillis en très grand nombre ce 8 janvier, déclarée journée de deuil national après l'attentat contre Charlie Hebdo. Comme l'illustrent les photographies ci-dessous, des hommages aux victimes et des manifestations de soutien à leurs proches ont été organisés partout en France. À midi, la minute de silence a été respectée dans tous les établissements, qu'ils soient CHU, CH, Ehpad ou encore clinique... Certains ont aussi déroulé des banderoles "Je suis Charlie" sur leurs frontons. Un message porté à la poitrine par certains professionnels, en guise de badge. Pour dire comme un seul homme la tristesse et l'indignation.
Le monde de la santé s'est aussi largement exprimé sur les réseaux sociaux ou à travers des communiqués de presse dès le 7 janvier. Les réactions continuent aujourd'hui d'affluer. Ainsi, les élus de l’Association nationale des directeurs d'hôpital (ADH) se disent bouleversés par la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo. Ils tiennent à exprimer leur profonde tristesse, leur émotion et toute leur solidarité à l’égard des victimes, de leurs familles, de leurs proches et de leurs confrères ou collègues. Ils s'adressent également aux services de secours, aux services de sécurité et aux professionnels de santé "mobilisés sur place dans des conditions particulièrement éprouvantes" pour les assurer de leur soutien total. "Face à ce drame choquant, révoltant et douloureux, l’ADH affirme son attachement indéfectible aux valeurs républicaines portées par la France, pays de tolérance et de liberté", dans son communiqué. "Les directrices et directeurs d’hôpital, comme les communautés professionnelles qu’ils animent, sont particulièrement émus par ce drame", écrit l'ADH. À travers eux, c’est le monde hospitalier dans son ensemble qui adresse ses pensées aux journalistes, aux officiers de police et aux autres victimes qui ont été assassinées ou blessées lors de cette ignoble agression."
Les syndicats – Syncass CFDT, SMPS, CH-FO – condamnent également cet acte terroriste et rappellent leur attachement à la liberté d'expression. "Nous n’acceptons pas cette atteinte à la liberté de penser, à la liberté d’expression", s'indigne Bernard Gaillard, le président de la conférence régionale de la santé et de l'autonomie (CRSA) de Bretagne. "Continuons ensemble, sur le territoire francilien, touché en son cœur, à porter les valeurs humanistes qui sont les nôtres et à accompagner au quotidien les associations qui oeuvrent pour le "vivre ensemble"", appelle l'Union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uriopss) d'Île-de-France.
Le monde de la santé devait aussi se réunir lors des marches républicaines ces 10 et 11 janvier à l'appel de la FHF, de la Confédération de syndicats médicaux français (CSMF), des intersyndicales de praticiens hospitaliers de Convergences-HP ou encore de l'Union nationale des professions libérales (Unapl).
Le monde de la santé s'est aussi largement exprimé sur les réseaux sociaux ou à travers des communiqués de presse dès le 7 janvier. Les réactions continuent aujourd'hui d'affluer. Ainsi, les élus de l’Association nationale des directeurs d'hôpital (ADH) se disent bouleversés par la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo. Ils tiennent à exprimer leur profonde tristesse, leur émotion et toute leur solidarité à l’égard des victimes, de leurs familles, de leurs proches et de leurs confrères ou collègues. Ils s'adressent également aux services de secours, aux services de sécurité et aux professionnels de santé "mobilisés sur place dans des conditions particulièrement éprouvantes" pour les assurer de leur soutien total. "Face à ce drame choquant, révoltant et douloureux, l’ADH affirme son attachement indéfectible aux valeurs républicaines portées par la France, pays de tolérance et de liberté", dans son communiqué. "Les directrices et directeurs d’hôpital, comme les communautés professionnelles qu’ils animent, sont particulièrement émus par ce drame", écrit l'ADH. À travers eux, c’est le monde hospitalier dans son ensemble qui adresse ses pensées aux journalistes, aux officiers de police et aux autres victimes qui ont été assassinées ou blessées lors de cette ignoble agression."
Les syndicats – Syncass CFDT, SMPS, CH-FO – condamnent également cet acte terroriste et rappellent leur attachement à la liberté d'expression. "Nous n’acceptons pas cette atteinte à la liberté de penser, à la liberté d’expression", s'indigne Bernard Gaillard, le président de la conférence régionale de la santé et de l'autonomie (CRSA) de Bretagne. "Continuons ensemble, sur le territoire francilien, touché en son cœur, à porter les valeurs humanistes qui sont les nôtres et à accompagner au quotidien les associations qui oeuvrent pour le "vivre ensemble"", appelle l'Union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uriopss) d'Île-de-France.
Le monde de la santé devait aussi se réunir lors des marches républicaines ces 10 et 11 janvier à l'appel de la FHF, de la Confédération de syndicats médicaux français (CSMF), des intersyndicales de praticiens hospitaliers de Convergences-HP ou encore de l'Union nationale des professions libérales (Unapl).
