La DGOS veut sortir l'HAD de sa confidentialité actuelle
"Diffuser l'HAD et lui donner une assise suffisante pour la sortir de la confidentialité actuelle" est une priorité, a déclaré Isabelle Prade, chef du bureau R4 de prises en charge post-aiguës, pathologies chroniques et santé mentale à la DGOS à l'occasion d'un point presse organisé dans le cadre des Salons de la santé et de l'autonomie. L'HAD s'inscrit en effet dans un secteur au positionnement et aux possibilités mal connus des prescripteurs eux-mêmes. Depuis la diffusion de la circulaire…