Les accompagnants de la fin de vie insistent sur l'importance du collectif pour éviter le burn-out
Réunis à l'occasion d'un colloque de la Fehap sur l'accompagnement de la fin de vie ce 4 juin, plusieurs acteurs du médico-social se sont interrogés sur leur quotidien. Comment, en somme, s'impliquer pleinement dans son métier sans se mettre en danger ?"Pour ceux dont le métier implique d'accompagner quelqu'un en souffrance, dont le travail devient éminemment personnel, la barrière entre vie professionnelle et vie personnelleest difficile à maintenir. Et quand celle-ci s'estompe, c'est là…