La gestion par Dexia/Sfil des prêts toxiques accordés au CH de Mayotte est jugée "prohibitive"
Avec une pénalité de sortie qui flambe à 195% du capital restant dû, la chambre régionale des comptes ne se gêne pas pour dénoncer l'attitude de la banque Dexia/Sfil dans son suivi des prêts structurés du CH de Mayotte. Mais elle rappelle également que l'hôpital n'est pas exempt de tout reproche dans ses choix spéculatifs passés.
En septembre 2014, la Société de financement local (Sfil), qui a remplacé l'ex-banque franco-belge Dexia, exigeait pas moins de 39millions d'euros (M) de soulte au CH…