Offre de soins
Le CHR de Metz-Thionville s'attèle à la coordination du SSR et de la post-réanimation
Avant la date du 11 mai, le CHR de Metz-Thionville entend absorber la deuxième vague d'activité due à la déprogrammation. Sur le long terme, il passe de la coordination des réanimations à celle de la post-réanimation et du SSR sur deux GHT mosellans.Après le pilotage des lits de réanimation des groupements hospitaliers de territoire (GHT) de Metz et de Sarreguemines (Moselle), le CHR de Metz-Thionville va "glisser" vers la coordination de la post-réanimation et du SSR. "Nous avons un espace d'échanges pour envisager ces deux éléments de manière concertée et sereine", rassure Marie-Odile Saillard, la directrice générale (DG) du CHR, lors d'une conférence de presse le 27 avril.
L'objectif affiché est d'organiser les flux de patients de leur entrée à leur sortie en fonction des pathologies avec un cheminement spécifique pour les personnes atteintes de Covid-19. "L'enjeu est de sécuriser ces deux cheminements. Nous ne pourrons pas le faire complètement mais à 99,9%. Personne ne pourra le faire à 100%", estime Marie-Odile Saillard. Cette dernière mise sur la transparence des organisations pour regagner la confiance des patients. "Les gens ont aussi peur de mettre les pieds dans une salle d'attente de clinique ou d'hôpital que de prendre le métro à Paris", constate la DG. Les mêmes règles seront ainsi appliquées dans l'ensemble des établissements des deux zones couvertes par les deux GHT.
À plus court terme, d'ici le 11 mai, le CHR de Metz-Thionville compte mener l'ensemble des activités différées à cause de l'épidémie, sans pour autant avoir le rythme de reprogrammation habituel. "Pour ces deux semaines, nous prenons le pari que ça ne reflambera pas", avance la DG à propos de l'épidémie de Covid-19. Des consultations de spécialistes et des chirurgies seront ainsi mises en œuvre pour les patients atteints de maladie chronique. "Nous allons faire en sorte que les lits de réanimation ne soient pas remplis le 11 mai, ce qui est urgent et pressé doit être fait", estime Marie-Odile Saillard. Pour l'après-déconfinement, plusieurs scénarios sont possibles dans l'organisation des établissements du CHR avec des filières Covid-19 et non Covid-19.
L'objectif affiché est d'organiser les flux de patients de leur entrée à leur sortie en fonction des pathologies avec un cheminement spécifique pour les personnes atteintes de Covid-19. "L'enjeu est de sécuriser ces deux cheminements. Nous ne pourrons pas le faire complètement mais à 99,9%. Personne ne pourra le faire à 100%", estime Marie-Odile Saillard. Cette dernière mise sur la transparence des organisations pour regagner la confiance des patients. "Les gens ont aussi peur de mettre les pieds dans une salle d'attente de clinique ou d'hôpital que de prendre le métro à Paris", constate la DG. Les mêmes règles seront ainsi appliquées dans l'ensemble des établissements des deux zones couvertes par les deux GHT.
À plus court terme, d'ici le 11 mai, le CHR de Metz-Thionville compte mener l'ensemble des activités différées à cause de l'épidémie, sans pour autant avoir le rythme de reprogrammation habituel. "Pour ces deux semaines, nous prenons le pari que ça ne reflambera pas", avance la DG à propos de l'épidémie de Covid-19. Des consultations de spécialistes et des chirurgies seront ainsi mises en œuvre pour les patients atteints de maladie chronique. "Nous allons faire en sorte que les lits de réanimation ne soient pas remplis le 11 mai, ce qui est urgent et pressé doit être fait", estime Marie-Odile Saillard. Pour l'après-déconfinement, plusieurs scénarios sont possibles dans l'organisation des établissements du CHR avec des filières Covid-19 et non Covid-19.