La mort des patients induit des conséquences personnelles pour les médecins du cœur
Les cardiologues, les chirurgiens et anesthésistes-réanimateurs cardiaques ne sont pas insensibles aux conséquences de la mort des patients sur leur santé mentale. Une étude, menée par des praticiens de ces différentes spécialités, met l'accent sur ce tabou encore difficile à briser dans le quotidien des services hospitaliers.
Si les effets des situations de fin de vie et de la mort des patients chez les médecins spécialistes du cœur sont peu connus, c'est avant tout parce qu'ils ne sont pas un…