L'activité de greffe d'organes a diminué de 50% depuis le début de l'épidémie
La prise en charge des patients atteints du virus Sars-Cov-2 mobilise aujourd'hui la majorité des établissements et personnels de santé en France. De ce fait, l'activité de greffe d'organes connaît un "ralentissement important" avec une baisse de 50% des propositions depuis le début de l'épidémie, explique l'Agence de la biomédecine dans un communiqué le 27 mars.
Elle souligne néanmoins que les greffes vitales (cœur, foie, poumon) sont maintenues. Les greffes rénales en revanche sont…