Sanofi est mis en examen pour homicides involontaires dans l'affaire de la Dépakine
Déjà mis en examen pour tromperie aggravée et blessures involontaires, Sanofi Aventis France est désormais aussi poursuivi pour homicides involontaires dans le cadre de l'affaire de la Dépakine, un anti-épileptique aux effets tératogènes. Pour l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anti-convulsivant (Apesac), qui regroupe les familles des victimes, "ce nouveau chef d'accusation est une grande victoire". Selon l'association, le juge d'instruction estime que le…