La gynécologie et la médecine de reproduction s'interrogent sur des recommandations
Les recommandations préliminaires de l'Agence nationale de sécurité du médicament sur le risque de méningiome des progestatifs suscitent l'interrogation d'organisations de professionnels de la gynécologie et de la médecine de reproduction. Dans un communiqué, elles soulignent une "grande première pour une agence sanitaire" et se demandent si "le principe de précaution va remplacer la démonstration de la preuve ?". Elles s'interrogent aussi sur la publication de ces recommandations…