Les pilotes d'hélismur refusent qu'un médecin ou un infirmier fasse office de copilote
À compter du 28 octobre, le médecin ou l'infirmier d'un Smur pourra être amené à seconder le pilote d'un hélismur. Une hérésie pour les pilotes qui ont débrayé ce 16 juillet, craignant que cette transposition à la française d'un texte européen sur l'obligation d'un 2e membre d'équipage n'engendre une offre low cost du transport sanitaire héliporté.À l'appel du Syndicat national du personnel navigant de l'aéronautique civile (SNPNAC), les pilotes d'hélicoptères des entreprises travaillant pour…