Les contours de la zone grise du consentement inquiètent les gynécologues
Les plaintes pour "viol gynécologique" et le manque de clarté de la loi déstabilisent les professionnels. Ils ont l'obligation de prouver le consentement s'ils se retrouvent devant les tribunaux mais n'ont aucun moyen certain pour le faire. Démunie, la profession craint également un renoncement aux soins et une perte de chance pour les patientes.
La qualification "trop médicalisé" est courante pour décrire les accouchements en France, sauf pour la justice. Ce n'est qu'en2019 en effet qu'elle…