Un décret définit les modalités d'expression du refus au prélèvement d'organes après la mort
En France, la loi considère tout un chacun comme un donneur d'organe potentiel. En effet, le consentement présumé a cours depuis les années soixante-dix. Mais au vu de la pénurie de greffons, les pouvoirs publics ont renforcé ce principe. L'article 192 de la loi de modernisation de notre système de santé modifie ainsi les conditions d'expression du refus du don. Désormais le prélèvement "peut être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu'elle n'a pas fait connaître, de son vivant, son…