La violence qui peut toucher les hôpitaux psychiatriques n'est "pas une fatalité"
Un nouveau rapport du contrôleur général des lieux de privation de liberté se penche sur les violences interpersonnelles que peuvent vivre patients et soignants en psychiatrie. Trente recommandations sont formulées pour prévenir ces situations.Si les modes de fonctionnement des lieux de privation de liberté —dont les hôpitaux réalisant des soins sous contraintes— "favorisent les violences interpersonnelles", cette violence ne doit "pas être considérée comme une fatalité et n’est pas inéluctable…