Les violences gynécologiques à Tenon ont des causes "individuelles" et "systémiques"
Mis en retrait depuis deux mois par l'AP-HP, le chef du service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction de Tenon perd définitivement ses responsabilités et ses fonctions pédagogiques. L'enquête interne confirme la "maltraitance".Soupçonné "de faits de violences gynécologiques", le chef du service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction de l'hôpital Tenon à Paris(20earrondissement), le PrÉmile Daraï, se voit définitivement retirer cette responsabilité. Annonce…