Le Gouvernement envisage un "secourisme à l'envers" avec l'aide à mourir
L'avant-projet de loi sur la fin de vie du Gouvernement prévoit la présence d'un médecin ou d'un infirmier pour hâter le décès et limiter les souffrances en cas d'incident lors d'une procédure d'aide active à mourir. Ce rôle de "secourisme à l'envers" suscite, avec d'autres éléments du texte, l'indignation de la communauté soignante.
Avec vingt et un articles, l'avant-projet de loi du Gouvernement sur la fin de vie, dont Hospimedia a obtenu copie, tient effectivement la promesse de regrouper…