Les anesthésistes-réanimateurs pourraient être les premiers acteurs de l'aide à mourir
Suspendue par la dissolution, la loi sur l'aide à mourir n'est pas pour autant définitivement abandonnée. Si elle est adoptée, les anesthésistes-réanimateurs pourraient se retrouver à procéder à l'acte si des confrères hospitaliers soulèvent leur clause de conscience. Le prélèvement des organes pourrait aussi changer de perspective.
Malgré la dissolution, une évolution de la loi sur la fin de vie reste d'actualité dans le monde de la santé. Lors de son congrès à Paris, la Société française…